Le rassemblement de ce mercredi 6 Mars place des Terraux à Lyon a été improvisé rapidement. Mais il a réuni une centaine d’amis de l’Amérique Latine et militants de cet espoir renaissant d’une nouvelle période de résistance à l’impérialisme, de construction du socialisme, que la longue série de victoires électorales et politiques de Chavez a ouvert puis conforté.

J’ai pu participer à ce rassemblement comme élu communiste, et j’ai brièvement pris la parole pour rappeler le sens de ce slogan souvent mal compris "le socialisme ou la mort", qui ne veut pas dire que les militants préfèrent mourir que de ne pas construire le socialisme, mais que le capitalisme ne nous laisse pas de choix. Avec lui, c’est la mort, la barbarie ! Comme le dit l’économiste Rémi Herrera, il n’y a pas d’autre capitalisme, et il faut donc construire le socialisme le plus rapidement possible.

Comme le dira José Pinel, en 15 ans, le socialisme Bolivarien de Hugo Chavez à renversé 200 ans de colonialisme dans ce pays de grandes richesses et de très grandes inégalités.

Le peuple Vénézuélien est debout. Nous lui faisons confiance pour porter ce que représente Hugo Chavez au plus haut, pour poursuivre la construction d’un socialisme du XXIème siècle, de nouvelles formes de solidarité continentales avec l’ALBA contre la domination des USA, du FMI, de l’OMC...

Ce message s’adresse bien sûr à tous les peuples dont le peuple Français ! A nous de dire si nous sommes capables de repenser le socialisme pour la France !