Nous répétons d’ailleurs que nous demandons que tout projet photovoltaïque fasse l’objet d’une étude d’impact carbone tenant compte de l’origine des panneaux, du chantier, des intervenants et éclairant le modèle économique et les financements en cout total sur le cycle de vie, ce qui explique notre abstention sur la délibération 1642 concernant les installations des toits photovoltaïques sur nos équipements.
Car le photovoltaïque n’est pas une solution décarbonée, en tout cas beaucoup moins que l’éolien ou le nucléaire et le coût carbone peut varier selon les projets. Le bilan des installations du SIGERLY réalisé il y a 2 ans montrait que que ce sont les grandes installations qui sont pertinentes économiquement et environnementalement. Et bien entendu, le résultat est différent s’il y a ou non autoconsommation.
C’est pourquoi d’ailleurs nous demandons que les projets soutenus par la métropole privilégient l’autoconsommation, ce qui n’est pas le cas des projets évoqués sur nos équipements dans la délibération 1642 pour laquelle nous nous abstiendrons aussi.
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