Mais nous nous interrogeons sur ces deux délibérations qui inscrivent en PENAP une très grande part des surfaces de ces deux communes, plus d’un tiers pour Lissieu, les deux tiers pour Poleymieux. Je ne doute pas que le maire de Poleymieux, par ailleurs conseillère déléguée de notre métropole au logement social, aura pris soin de mesurer l’impact de cette mesure sur le potentiel foncier de ses communes pour répondre aux objectifs de construction de logements, dont les logements sociaux de la métropole.
A Poleymieux, il y a 22 logements sociaux sur 429 logements, soit 5,1% et à Lissieu 53 sur 1324 soit 4% et nous espérons que des projets sont prévus pour construire les 85 logements nécessaires à Poleymieux et les 260 à Lissieu pour atteindre les 25%. Je rassure les deux maires, personne ne pense à monter en étage mais plutôt à du logement bien intégré dans l’histoire urbaine, autrement dit de la maison de ville ou du petit R+1 autrement dit un potentiel foncier nécessaire.
En l’absence de toute réponse à cette interrogation en commission, nous nous abstiendrons sur cette délibération.
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